
« Je suis raciste… mais je me soigne » : une introspection blanche nécessaire
« Je suis raciste… mais je me soigne » : le titre de l’essai de Jérôme Pruneau fait l’effet d’une gifle salutaire. Là où la bienséance voudrait qu’on se drape dans un « moi, raciste ? Jamais ! », l’auteur choisit la voie de l’aveu. Une introspection blanche qui dérange, questionne et ouvre enfin un espace de transformation personnelle et collective.