Anaïs Gachet : Du coup, j’ai fui la France
Si l’on peut se réjouir d’avoir lu Du coup, j’ai fui la France d’Anaïs Gachet, c’est avec la sensation d’avoir vécu un parcours intérieur soi-même, car si partir s’apparente communément à se déplacer physiquement, il apparaît que dans la vie, on part toujours finalement que ce soit par choix ou parce que le contexte nous l’impose en tant que liberté possible dans un monde où rester peut s’apparenter à mourir. Anaïs Gachet signe un essai plein de vie et d’ouverture sur la notion d’immigration.
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Par Nathasha Pemba