
Moustiquaire et Krazy glue d’André Abat-Roy
Moustiquaire et krazy glue est une analyse de l’existence à partir d’une poésie incarnée. L’auteur, André Abat-Roy est originaire de St-Agapit, et vit entre Québec et Montréal.
Moustiquaire et krazy glue est une analyse de l’existence à partir d’une poésie incarnée. L’auteur, André Abat-Roy est originaire de St-Agapit, et vit entre Québec et Montréal.
Publié en 2021, clara sans majuscule explore la réalité maternelle à partir d’une famille ou tout semble aller en apparence. Entre prise de conscience, amour maternel et démission du père, Danièle Simpson réussit à montrer la force de l’écriture dans la réalisation de soi.
Auteure de plusieurs ouvrages et articles sur le Mexique, Françoise Roy est Québécoise. Elle est titulaire d’un certificat en traduction (Guadalajara, 2000) et de plusieurs diplômes universitaires. Elle est une poète renommée qui a reçu plusieurs prix de poésie et donné des lectures dans de nombreuses grandes villes. Elle parle couramment le français et l’espagnol. Elle vit au Mexique.
Gisèle Ayaba Totin est une auteure d’origine béninoise. En 2019, le collectif « Dix femmes écrivaines du Bénin » qu’elle dirige fait paraître un recueil de nouvelles portant sur les histoires de famille. En 2022, elle décide de rééditer son livre Sincères condoléances, publié pour la première fois en 2016, chez La Doxa. Cette nouvelle édition, publiée en autoédition, est une version augmentée de la première.
De l’auteur, on ne sait pas grand-chose, sauf qu’il est né en 1984, qu’il habite en Normandie et qu’il voyage beaucoup à l’étranger. Dans ce livre inédit, Joseph Andras cible l’histoire de France et d’Algérie dans ce qu’elle a eu de violent et de haineux : la guerre d’Algérie. L’intrigue de sa fiction se focalise sur un personnage français qui a marqué la résistance algérienne : Fernand Iveton, né en Algérie et élevé dans les quartiers d’Algérie avec des Algériens et d’autres Européens. En ciblant l’histoire de la guerre d’Algérie qui est une histoire de division, il cible aussi une histoire d’amour et d’union indéfectible entre Iveton et Hélène la Polonaise qu’un amour fort unira.
Que saisissons-nous des gens, la première fois que nous posons les yeux sur eux? Leur vérité, ou plutôt leur couverture? Leur vernis, ou leur écorce? Avons-nous à ce moment-là une chance unique de les percer à jour, ou est-ce que cet espoir est absolument vain, parce que le premier regard passe toujours à côté de ce qui est important?
Dans son livre, Une seule vie, l’écrivaine congolaise Paola Elenga-Onimba partage l’expérience de son deuil après la mort de sa mère. Elle y aborde notamment ses rapports avec son père et, comment, avec le temps, elle essaie de s’en sortir. Perdre sa maman à l’âge de 9 ans et commencer à le réaliser à 26 ans, telle est le récit d’une jeune dame qui a dû trouver des moyens pour croire en la vie.
Poète et philosophe, Stève Wilifrid Mounguengui est originaire du Gabon et réside en France depuis 2002. Formé à la philosophie et à la sociologie, il travaille dans le milieu éducatif et social. Auteur de quatre recueils de poésie, il a publié en 2023 son premier récit Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde.
Sami Tchak est un sociologue et écrivain togolais. Il est devenu, en trente ans, une sommité du cercle des écrivains francophones reconnue dans le monde entier. Il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages, des romans et des essais, dont plusieurs ont été traduits en italien, en espagnol et en allemand. En 2004, il est le lauréat du Grand prix littéraire d’Afrique noire pour son quatrième roman La fête des masques
Bill Kouélany, artiste plasticienne originaire de la République du Congo, est la première Africaine subsaharienne à exposer à la Documenta de Kassel en 2007. Lauréate du Prix Prince Claus en 2019, elle est la directrice artistique de « Les Ateliers Sahm », un espace pluridisciplinaire qu’elle a créé pour les jeunes artistes en 2012, à Brazzaville. Elle publie Kipiala ou la rage d’être soi en 2021, aux Éditions Les Avrils, après ses pièces de théâtre Cafard, cafarde (2003) et Peut-être (2007).
« Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne peut s'exprimer qu'en répondant : Parce que c'était lui, parce que c'était moi. »
Montaigne